Synopsis
Safia, ancienne prostituée de Sfax, devient la femme d'André Chervin, un éminent archéologue. Elle a eu un enfant de l'homme qu'elle aimait : Mattéo, le Maltais, qu'elle retrouve à Paris, par hasard, alors qu'elle le croyait mort. Au grand soulagement de Safia et de son enfant, Mattéo se tait et se donne la mort.
Source : Wikipedia
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (33)
Production et distribution (2)
- Production déléguée : Gladiator Films
- Distribution France : Lux Compagnie Cinématographique de France
Générique détaillé (12)
- Scénariste : Jacques Companeez
- Dialoguiste : Simon Gantillon
- Auteurs de la musique : Jacques Ibert, Mahieddine
- Assistant à la réalisation : Henri Calef
- Monteurs : Boris Lewin, Curt Courant
- Ingénieur du son : Émile Lagarde
- Auteur de l'œuvre originale : Jean Vignaud
- Producteurs : Charles Smadja, André Parant, Bernard Natan
- Assistant opérateur : Maurice Pecqueux
- Cadre : André Bac
- Décors : Maurice Colasson, Georges Wakhevitch
- Photographe de plateau : Emmanuel Lowenthal
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Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Comédie dramatique
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français
- Année de production : 1938
- Sortie en France : 22/09/1938
- Durée : 1 h 39 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 1038
- Visa délivré le : 31/08/1940
- Agrément : Oui
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Noir & blanc
- Cadre : 1.37
- Format son : Mono
Actualités & distinctions
A propos
Seconde adaptation du roman de Jean Vignaud, livre que Pierre Chenal ne tenait pas en très haute estime. Il s’agissait selon lui d’un mélo un peu insipide. Mais la force du cinéma, c’est la mise en scène, qui peut transformer du plomb en or. Chenal déclarait que « la façon dont on traite le sujet, le style donné au récit sont dans certains cas aussi importants que l’histoire elle-même. » Tout comme le choix des acteurs. Ainsi du trait de génie d’utiliser Dalio à contre-emploi : « Prendre Dalio pour interpréter un jeune Maltais séduisant, fallait oser ! J’avoue que j’ai eu beaucoup de mal à le convaincre. A force de jouer les tarés, des personnages immondes, pourris et crachotants, il finissait par oublier que dans la vie privée il avait une certaine beauté un peu orientale et une grande douceur. On peut donc comprendre sa réticence à incarner un poète, une sorte de mage capable d’émouvoir la plus belle pute de Sfax (…). Je ne l’ai pas regretté car le rôle de Matteo lui ouvrit les portes de Hollywood. »
Source : Festival d'Amiens