Le cinéma français continue sa vie dans les médias internationaux ! En janvier, les journalistes étrangers se sont laissé séduire par une comédie romantique aux Pays-Bas, se sont fait l'écho du succès d’une chronique judiciaire en Espagne, ont envahi les médias japonais à propos d'un film d’action et ont donné leur point de vue sur les Rendez-vous du cinéma français à Paris d'UniFrance.
La Belle Époque est sorti aux Pays-Bas le 2 janvier dernier et la presse néerlandaise est sous le charme :
De Filmkrant, le plus grand magazine de cinéma indépendant du pays, présente la nostalgie comme un "trouble", et dit que le film explore délibérément, et de manière engageante, le phénomène générationnel de la nostalgie : "Tout était-il vraiment mieux avant ?"
https://filmkrant.nl/recensies/la-belle-epoque/
Volkskrant, le troisième quotidien des Pays-Bas, déclare que La Belle Époque "est plus qu'une critique de l'industrie de la nostalgie (…) mais en fin de compte, s'avère être une comédie romantique agréable à regarder."
https://www.volkskrant.nl/cultuur-media/la-belle-epoque-is-nog-meer-dan-een-kritiek-op-de-nostalgie-industrie-een-licht-verteerbare-romkom~b9ad4ca8/
De Telegraaf, le quotidien le plus important du pays, souligne de son côté que le film exhorte à "être jeune et retomber amoureux" et qu’il "joue avec la distance créée par l’incrédulité et parvient à empêcher le côté romantique de s'y précipiter prématurément."
ttps://www.telegraaf.nl/entertainment/735716758/even-weer-jong-en-dolverliefd-zijn
J'accuse a débarqué sur les écrans ibériques le 1er janvier 2020 et cumule à ce jour 160 233 spectateurs, le 2ème meilleur résultat à l’international.
Le critique espagnol Carlos Boyero célèbre dans El País le retour de Polanski au cinéma d’époque, en soulignant "son style dépourvu de sentimentalisme" et en se réjouissant du fait qu’il "fait appel à la réflexion du spectateur et non au débordement émotionnel".
https://elpais.com/cultura/2019/12/29/actualidad/1577640596_741839.html
La Vanguardia définit le film de son côté comme “une œuvre impeccable, une reconstitution d’une célèbre affaire dépourvue d’artifice".
https://www.lavanguardia.com/cultura/20191231/472651302438/manipulacion-politica-y-militar.html
Le quotidien conservateur ABC déclare de son côté qu’il s’agît d’un film "merveilleusement filmé, écrit et interprété (...) c’est du grand cinéma".
Nicky Larson et le parfum de Cupidon a fait un tabac au Japon, donnant raison à Philippe Lacheau d'avoir tenu à adapter au cinéma le très populaire manga "City Hunter". Comme le raconte www.cinema.ne.jp, le principal site sur le cinéma au Japon, la sortie de City Hunter The Movie (le titre en japonais) avait suscité de très grandes attentes parmi la communauté des fans. Le résultat a été à la hauteur, avec 127 406 entrées à ce jour.
https://cinema.ne.jp/recommend/cityhunter2019120906/
De très nombreux autres sites se sont fait le relais du film, comme www.value-press.com ; https://movie.jorudan.co.jp/ https://www.chunichi.co.jp/ https://www.cinra.net/n https://prtimes.jp/
https://screenonline.jp/, pour n'en citer que quelques-uns.
Les Rendez-vous du cinéma français à Paris ont accueilli, du 16 au 20 janvier dernier, outre le marché du film, plus d’une centaine de journalistes étrangers venus rencontrer les artistes du cinéma français.
Elsa Keslassy, dans Variety, met l’eau à la bouche en citant les noms d'artistes très attendus comme Isabelle Huppert, Catherine Deneuve ou Omar Sy.
Pour le journaliste brésilien Roberto Fonseca du Correio da Manhã, il s’agît d’une vitrine de bijoux français".
https://www.jornalcorreiodamanha.com.br/cultura/511-vitrine-de-joias-francesas