Le cinéma français occupe, fin janvier début février, l'actualité cinématographique davantage du côté des Amériques, même s’il reste toujours présent dans les médias européens et asiatiques.
Tandis que la course aux Oscars bat son plein, Deux de Filippo Meneghetti fait l’objet d’un bel article dans le "New York Times" : "Une représentation furtive de l'érotisme lesbien, qui reflète les inhibitions d'une génération."
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"Variety" se fait l’écho du succès de CODA, remake de La Famille Bélier multi-primé au Festival de Sundance : "C'est le premier film de l'histoire de Sundance à remporter les trois premiers prix dans la catégorie dramatique américaine."
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Le festival Animation First, entièrement dévolu à l'animation française et organisé par la FIAF, est dans les "5 Things To Do This Weekend", selon le "New York Times" :
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Le mensuel "Animation Magazine" dit du court-métrage français Empty Places de Geoffroy De Crécy, qu'il est "la métaphore parfaite d'une planète sous l'emprise d'une pandémie mondiale.".
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En Europe de l’Est, Les Traducteurs, sorti en Roumanie, attire l’attention de nombreux médias. Le magazine "Muze & Arme" déclare : "Régis Roinsard a conçu une histoire qui vous tient en haleine."
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En Serbie, la presse se réjouit de l’arrivée du film Police d'Anne Fontaine sur les écrans, sorti sous le titre "Ronde de nuit".
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Et en Russie, Poly de Nicolas Vanier attire presque 20 000 spectateurs, après une importante campagne de presse lancée par le distributeur. Dans "Gold Mustang", le magazine sur la culture équestre, on peut lire : "Une histoire fascinante qui véhicule des idées sur le respect de la nature et des animaux".
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En Europe occidentale, c’est la Norvège qui ouvre le bal. Été 85 de François Ozon est décrit sur Cine.no comme "un drame d'enfance somptueux et nostalgique, aux nuances douces-amères".
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La Belle Époque de Nicolas Bedos, sorti en Norvège le jour de la Saint-Valentin, est proposé dans "Filmmagasinet" comme une charmante alternative pour les couples un peu plus désuets.
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Et en Espagne, c’est La Fille au bracelet de Stéphane Demoustier qui attire le public et la presse ibériques. Pour "Cinemania", "ce film nous montre le fossé sans précédent qui nous sépare de la génération suivante."
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Le quotidien "El País" publie de son côté un long entretien avec Vincent Cassel, qui se remémore Vinz, son personnage dans La Haine, "devenu une icône de la culture française contemporaine" :
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En Corée du Sud, Dailian.co.kr remarque à propos du film #jesuislà "l’importance de la communication via les réseaux sociaux" en contraste à "la solitude des hommes mûrs".
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Concluons sur la double présence en ce moment de Noémie Merlant dans les salles au Japon : dans Portrait de la jeune fille en feu, toujours à l’affiche, mais aussi dans Jumbo, dont voici l'éblouissante affiche japonaise.