Synopsis
Vingt-quatre heures de la vie de trois jeunes musiciens, Pierre, Alphonse et Julien, entre Saint-Denis, Aubervilliers et Pigalle... Ils s'apprêtent à donner leur premier concert quand la fourrière enlève leur break. Trop fauchés pour payer l'amende, ils doivent trouver un autre véhicule pour transporter leur matériel et le temps leur est compté. Ils rencontrent toutes sortes de gens bizarres et de situations incongrues... La vie, quoi !
Générique
Réalisatrice (1)
Acteurs (8)
Production et distribution (2)
- Production déléguée : Les Films de l'Atalante
- Distribution France : Les Films de l'Atalante
Générique détaillé (10)
- Producteur délégué : Gérard Vaugeois
- Scénaristes : Paul Allio, Caroline Chomienne
- Directeur de la photo : Jérôme Peyrebrune
- Auteur de la musique : Pierre Allio
- Monteur : Christian Dior
- Ingénieur du son : Patrick Allex
- Costumes : Nathalie Raoul
- Attachée de presse (film) : Marie Queysanne
- Scripte : Sandra Di Pasquale
- Décors : Sylvie Deldon
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Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Comédie
- Langue de tournage : Français
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français
- Année de production : 1996
- Sortie en France : 29/05/1996
- Durée : 1 h 10 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 86.424
- Visa délivré le : 02/05/1996
- Agrément : Oui
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur
Actualités & distinctions
A propos
"Le couple jeunes/banlieue, personnages forts de l'imaginaire littéraire et cinématographique, a subi ces derniers mois, via "La Haine", "Raï" ou "Etat des lieux", une sorte de traitement de choc mythologique. Ce qui m'a plu quand Caroline Chomienne m'a proposé "Le Miroir aux alouettes" - c'était alors son titre - c'est son air "lucide" mais pas désespéré, ironique, traquant l'humour sous la galère quotidienne, façon "Pieds Nickelés apprentis musiciens". Le résultat fut à la mesure de mon attente. Ici, pas de panoplie banlieusarde stéréotypée : armes, seringues et fracture sociale. Pas de violence psycho-verbale, pas de metalangage pittoresque, mais comme l'a dit si bien Jean-Michel Frodon dans Le Monde, "Un film comme un rap modeste et entraînant (...), une petite chose vive et chaleureuse (...)"
(Gérard Vaugeois - Producteur)