Synopsis
Pour Max, fidèle à Sophia depuis sept ans, la chute est très dure. Jean, son meilleur ami, s'efforce de le soutenir... tout en ne partageant pas les même principes, il comprend très bien Max. C'est horrible de se retrouver dans une histoire de coucherie banale. On se croyait tellement au-delà de tout ça. Jean ne le lâche pas, il ne veut pas qu'il sombre. Mais il en rajoute énormément chaque fois que Max semble se remettre un peu et que son histoire avec Sophia s'arrange. Il lui ramène des doutes. On se demande vraiment ce qu'il a dans la tête.Va-t-il pousser Max vers une fin tragique ? Heureusement, on est dans une comédie.
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (8)
Production et distribution (3)
- Production déléguée : Paris New-York Production
- Coproduction : Double A Films
- Distribution France : Swift
Générique détaillé (11)
- Producteurs délégués : Claude Kunetz, Marc Piton
- Scénaristes : Arnold Barkus, Jackie Berroyer
- Directeurs de la photo : Michael Barrow, Bertrand Mouly
- Auteur de la musique : Jonathan Sampson
- Monteuse : Isabelle Dedieu
- Ingénieurs du son : Frédéric Ullman, Neil Riha
- Costumes : Kathryn Nixon, Marie-Laure Lasson, Diane Pernet
- Auteur de l'œuvre originale : Jackie Berroyer
- Attachée de presse (film) : Laurence Granec
- Décors : Aleksandar Denic, Laurent Allaire, Bernhart Blythe
- Photographe de plateau : Laurence Tremolet
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Comédie dramatique
- Langue de tournage : Français
- Origine : France
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français (France)
- Année de production : 1997
- Sortie en France : 10/12/1997
- Durée : 1 h 35 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 89.063
- Visa délivré le : 08/12/1997
- Agrément : Oui
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur
- Cadre : 1.85
Actualités & distinctions
A propos
"L'histoire se noue autour d'une femme qu'on ne voit jamais, "Sophia". Alors qu'on commence à peine à donner un visage à cette femme, on s'interroge en même temps sur la possibilité de son existence. Les Grecs l'ont déjà dit. Parfois comme le prophète Tiresias, il faut être aveugle pour voir la vérité. Il faut se méfier des apparences. Ce n'est pas là où les choses se révèlent. Le spectateur se trouve dans le même dilemme que Max, pour qui la confusion entre la fiction et le réel prend la dimension d'une tragi-comédie. L'ironie ultime, c'est lorsque la vérité se révèle par l'intervention de Vita, une femme dissimulatrice. C'est à travres l'artifice qu'on découvre donc la vérité, ou bien "la sagesse"... comme avec les muses d'autrefois... " (Arnold Barkus)