Synopsis
Dans une ville hantée par la présence d’un meurtrier invisible, une femme traverse la nuit. Prise à la gorge par une importante dette de jeu, ne pouvant compter sur personne, elle s’engage dans une lente spirale où chaque visage n’est que le reflet d’elle-même, de ses victoires et de ses échecs.
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (18)
Production et distribution (5)
- Production déléguée : Elzévir Films
- Coproductions : M6 Films, UGC Images
- Productions étrangères : Saga Film, 3 Emme Cinematografica
- Exportation / Vente internationale : France tv distribution
- Distribution France : ID Distribution
Générique détaillé (17)
- Productrices déléguées : Marie Masmonteil, Caroline Adrian
- Adaptation : Alain Adijes, Éric Woreth
- Scénariste : Alain Adijes
- Dialoguiste : Alain Adijes
- Directeur de la photo : Rémy Chevrin
- Auteurs de la musique : Magic Malik, Malik Mezzadri
- Monteur : Marcel Pat
- Ingénieur du son : Philippe Sénéchal
- Costumes : Marie-Laure Lasson
- Auteur de l'œuvre originale : Fredric Brown
- Producteur associé : Yves Marmion
- Producteur exécutif : Hubert Toint
- Attachés de presse (film) : André-Paul Ricci, Dany Martin
- Monteur son : Pierre Choukroun
- Décors : Olivier Raoux
- Mixage : Stéphane Thiébaut
- Photographe de plateau : Pascal Aimar
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Thriller
- Langue de tournage : Français
- Origines : Belgique, Italie, France
- EOF : Non précisé
- Nationalité : Majoritaire français (Belgique, Italie, France)
- Année de production : 1998
- Sortie en France : 05/08/1998
- Durée : 1 h 30 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 91.690
- Visa délivré le : 29/05/1998
- Agrément : Oui
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur
- Cadre : 1.66
Actualités & distinctions
A propos
Le film de Woreth se déroule dans le monde du jeu... Marthe (Isabelle Renauld) est une joueuse hantant les nuits, épouse d’un homme d’affaires (Jean-Marc Barr). Une nuit, c’est la nuit de trop : Marthe joue très gros et perd. Tout s’écroule, les portes se ferment, sa beauté décline, la ville autour d’elle semble un purgatoire dans lequel un tueur en série opère. Une jeune femme (Julie Gayet) est le côté ‘‘jour’’ de la vie du mari dont le parcours se révèle ambigu. ‘‘ça ne se refuse pas’’ rôde autour du thème de la mort continuellement au travail sur les êtres et dessine la métaphore du destin, cet unique soleil en notre possession qui engendre lui-même nos ombres... (‘‘Le Soir’’, 12 mars 1998)