Futures vedettes
Synopsis
Le ténor Eric Walter donne ses cours d'interprétation au conservatoire de Vienne. Marie avec une célèbre cantatrice, il vit sépare d'elle qui ne songe qu'à son art. Deux ravissantes élèves pourraient le consoler, la sensuelle Sophie et la pure Elis.Sophie devient en effet sa maîtresse. Sans lendemain, car épouse d'Eric perd sa voix et revient prendre sa place près de lui. Elis a songé au suicide mais autant en emporte le vent. L'avenir s'ouvre devant les futures vedettes.
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (30)
Production et distribution (3)
- Productions déléguées : Régie du Film, Del Duca Films, Orsay Films
- Exportation / Vente internationale : Les Films du Jeudi
- Distribution France : Columbia France
Générique détaillé (16)
- Scénariste : Roger Vadim
- Dialoguistes : Roger Vadim, France Roche
- Directeur de la photo : Jean Juillard
- Auteur de la musique : Jean Wiener
- Assistant à la réalisation : Roger Vadim
- Monteuse : Suzanne De Troeye
- Ingénieur du son : Robert Biard
- Auteur de l'œuvre originale : Vicki Baum
- Producteurs : Marc Allégret, Cino Del Duca, Gilbert Cohen-Seat
- Cadre : Jean Lallier
- Directeur de production : Claude Ganz
- Scripte : Odette Lemarchand
- Décors : Raymond Negre
- Chorégraphe : George Reich
- Photographe de plateau : Walter Limot
- Régisseur général : Michel Choquet
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Galerie media
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Comédie
- Thèmes : Spectacles
- Langue de tournage : Français
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français
- Année de production : 1955
- Sortie en France : 15/05/1955
- Durée : 1 h 35 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 16213
- Visa délivré le : 15/04/1955
- Agrément : Inconnu
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Noir & blanc
- Cadre : 1.37
- Format son : Mono
Box-office & sorties
Box Office
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Sorties à l'international
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Actualités & distinctions
A propos
Brigitte Bardot (Extrait de ses mémoires, "Initiales BB", Éditions Grasset) : « Je tournais Futures vedettes, et côtoyais Jean Marais toute la journée dans ce film au titre plein de promesses. J’avais le rôle d’une future cantatrice. J’ai fait de la danse pendant très longtemps, j’ai un peu appris la comédie, mais alors le chant, c’était zéro pour moi, surtout les roucoulades des sopranos. Il a fallu que j’apprenne à mettre la bouche en chemin d’œuf, à respirer et à prendre des airs de prima donna. Je chantais sur un playback les airs célèbres de La Tosca et de Madame Butterfly… Une fois de plus, j’étais grotesque ! Quand j’avais fini de chanter mes classiques, je jouais des scènes d’amour avec Jean Marais. Il fallait vraiment que je me donne un mal fou pour essayer d’y croire, car Jean ne me donnait pas l’impression d’avoir envie de recommencer ces scènes plusieurs fois de suite. Décidément, entre Jean-Claude Pascal et lui, ma vertu ne risquait rien ! »
Mylène Demongeot (Extrait de son autobiographie, "Tiroirs secrets", Éditions Le Pré aux Clercs) : « Marc Allégret m’a engagée pour interpréter une apprentie chanteuse, au conservatoire, dans la classe de Jean Marais. Une autre de mes vedettes préférées. […] La vedette, c’est la Brigitte Bardot d’avant Et Dieu… créa la femme. […] Elle a un cou de cygne (encore plus long que le mien et ça me réconforte), un port de reine, les pieds en dehors — un corps divin, hyper mince avec de gros seins. Je la vois, je suis verte ! Tout ce que je ne serai jamais ! […] Sa voix est enfantine, lente, très spéciale, tous les mots bien détachés… Sur le plateau, elle est très sérieuse, très appliquée à bien faire. Elle joue le rôle d’une danseuse, elle. Et elle est très gentille avec moi. Le scénariste du film, c’est Roger Vadim — le mari de Bardot. Il a une réputation sulfureuse. C’est le grand Satan pour nous, les gamines. (Quand je dis nous ce n’est que moi et celle qui est devenue ma grande copine rencontrée sur le tournage, Danièle Heymann, la future journaliste. À cette époque, mon Dieu, nous sommes aussi godiches l’une que l’autre…) […] Par contre, j’ai le béguin pour un jeune danseur beau comme un dieu, Georges Reich. Un vrai dessin de Cocteau, blond avec de grands yeux verts effilés. Il ne fait absolument pas attention à moi. Normal. C’est l’ami de cœur de Jean Marais. Pas de chance ! »
Source : Wikipedia
