Au lever du jour, un train roule traversant une région isolée. Dans le dernier wagon, Elisabeth (Marie-George Pascal) et son amie Evelyne sont les seules voyageuses. Alors qu'Elisabeth s'est rendue aux lavabos, un homme entre dans le compartiment d'Elisabeth. Le visage de l'inconnu se transforme, se déforme, se crevasse. Un ruissellement de pourriture l'inonde. Elisabeth, affolée se rue dans le couloir où elle découvre le cadavre ensanglanté de son amie. Stoppant le train elle s'enfuit dans la campagne. Le monstre la poursuit. A bout de souffle, elle se réfugie dans une ferme isolée. Mais les occupants sont dans le meme état de décomposition que l'homme du train. Dès lors, prisonnière de ces morts vivants, Elisabeth assiste, impuissante, à des scènes d'horreur. Pourtant elle parviendra à s'échapper, mais ce sera pour vivre un autre cauchemar : la population du village où elle arrive est en proie à la folie et au massacre. Deux ouvriers aux visages intacts, Paul et François, la sauvent et tous trois doivent se frayer un chemin à coups de fusil jusqu'au sommet d'une montagne où la vigne pousse. Ce sera, hélas, pour y découvrir le vin qui rend fou à casue d'un pesticide, et fait pourrir ceux qui le boivent. Paul abat le responsable de la pollution, lui-même contaminé, mais Elisabeth se saisit du fusil et le tue ainsi que François, pour rester seule avec son fiancé...