Synopsis
Le film est le documentaire officiel des jeux. Il traite huit sujets sportifs distincts, principalement dans le stade d'athlétisme, chacun réalisé par un metteur en scène international de renom, et ne fait pas mention de l'attaque palestinienne contre la délégation israélienne.
Milos Forman (Le Décathlon)
Kon Ichikawa (Les Sprinters)
Claude Lelouch (Les Perdants)
Yuri Ozerov (L'Ouverture)
Arthur Penn (Le Saut à la perche)
Michael Pfleghar (Les Femmes)
John Schlesinger (Le Saut en longueur)
Mai Zetterling (Le Lancer du poids)
Source : Wikipedia
Générique
Réalisateurs (7)
Production et distribution (1)
- Production déléguée : Bavaria Atelier
Générique détaillé (2)
- Assistants à la réalisation : Élie Chouraqui, Charles Gérard
- Cadre : Claude Lelouch
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Documentaire
- Thèmes : Sport
- Langue de tournage : Anglais, Allemand
- Origines : Etats-Unis, Allemagne, France
- EOF : Non précisé
- Nationalité : Minoritaire français (Etats-Unis, Allemagne, France)
- Année de production : 1972
- Sortie en France :
- Durée : 1 h 50 min
- Etat d'avancement :
- Agrément :
- Type de couleur(s) : Couleur
- Format son : Mono
Actualités & distinctions
Sélections (1)
A propos
"J'étais sur Visions of Eight un simple employé, à égalité avec sept autres metteurs en scène. Ma partie a été remonteé sans qu'on me demande mon avis, à l'instar de celles des autres, je crois. Je voulais transformer la souffrance en choréographie. Je voulais la sublimer et montrer que le sang, les larmes et la déprime faisaient également partie de la compétition. Les commanditaires ont voulu faire un documentaire expurgé de cette souffrance. ils ont rendu ma partie plus réaliste. (...) Nous avons bénéficié de moyens colossaux. Il y avait une grande salle remplie de caméras avec toutes les Panavision réunies. À côté, nos cinq caméras de Treize jours en France auraient fait pitié ! Nous avions des cameramen du monde entier, les plus grands téléobjectifs existants, des moyens inouïs. Les huit metteurs en scène se croisaient en permanence. Tous les soirs, nous nous retrouvions pour un briefing. J'étais très copain avec Milos Forman, Arthur Penn, John Schlesinger. Mais parmi les huit, j'étais le seul à la caméra. Ms assistants étaient Elie Chouraqui et Charles Gérard. J'avais conservé mon esprit de Grenoble et je voulais être au cœur de a détresse de ceux que je filmais."
© Claude Lelouch, "Claude Lelouch, mode d'emploi", de Yves Alion & Jean Ollé-Laprune, Calmann-Lévy.