Synopsis
Fils adoptif de Théo Van Horn, Charles appelle à la rescousse Paul, un professeur qu'il admire beaucoup : depuis quelques temps, il est victime de crises d'amnésie desquelles il émerge chaque fois en un lieu inconnu, après un temps indéterminé. Pour le surveiller, Paul accepte de séjourner chez les Van Horn...
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (11)
Production et distribution (3)
- Productions déléguées : Euro International Film (EIA), Les Films La Boëtie
- Exportation / Vente internationale : Artedis
- Distribution France : Parafrance
Générique détaillé (20)
- Scénaristes : Paul Gégauff, Eugène Archer, Paul Gardner
- Directeur de la photo : Jean Rabier
- Auteur de la musique : Pierre Jansen
- Assistants à la réalisation : Michel Dupuy, Patrick Saglio
- Monteur : Jacques Gaillard
- Ingénieur du son : Guy Chichignoud
- Costumes : Karl Lagerfeld
- Auteur de l'œuvre originale : Ellery Queen
- Producteur : André Génovès
- Assistant son : Gérard Dacquay
- Assistants opérateurs : Raymond Menvielle, Janine Rabier
- Cadre : Charles-Henri Montel
- Directeur de production : Irénée Leriche
- Assistant monteur : Jean-Claude Groussard
- Scripte : Aurore Chabrol
- Bruitage : Louis Devaivre
- Chef décorateur : Guy Littaye
- Mixage : Alex Pront
- Photographe de plateau : Roger Corbeau
- Régisseurs généraux : Arlette Danis, Patrick Delauneux
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Drame psychologique
- Langue de tournage : Français
- Origines : France, Italie
- EOF : Non précisé
- Nationalité : Majoritaire français (France, Italie)
- Année de production : 1971
- Sortie en France : 01/12/1971
- Durée : 1 h 50 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 36570
- Visa délivré le : 23/11/1971
- Agrément : Inconnu
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur
- Format son : Mono
Box-office & sorties
Diffusion TV
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Actualités & distinctions
A propos
Anecdotes
Claude Chabrol cite souvent ce film comme étant celui qu'il a complètement raté, par "excès d'ambition" précise-t-il.
Orson Welles est doublé en français par Georges Aminel.
Marcel Gotlib a réalisé une critique illustrée de ce film dans un épisode de la série de bande dessinée Rubrique-à-brac.
Source : Wikipedia
Point de vue
Drôle d’objet que cette Décade qui réunit à la fois Piccoli, un habitué des Chabrol des années 1970, Marlène Jobert, Anthony Perkins (à jamais maculé du sang de Psychose) et l’immense Orson Welles, immense étant en partie à prendre au premier degré, il occupe à l’époque beaucoup de place dans le plan ! Il est question de regard dans La Décade prodigieuse, à l’image des visions organiques et nauséeuses qui ouvrent le film. De vision empêchée plus précisément. Au cœur d’une intrigue quasi incestueuse, Piccoli en bon personnage chabrolien, entre adjuvant et enquêteur, fonce bille en tête et se plante sur toute la longueur. Si la sauce ne prend pas vraiment (le film est un collage un peu trop laborieux d’éléments qui restent hétérogènes), c’est un vrai plaisir de voir le cinéaste distiller ses éléments pour berner personnages et spectateurs. Parce que finalement, un film moyen de Chabrol est souvent bien plus intéressant qu’un film réussi de… beaucoup de réalisateurs en fait.
Source : iletaitunefoislecinema.com