Synopsis
Trois sketches centrés sur le destin d'une lanterne symbolique.
- 1er sketch : La Fermeture (réal. Gilles Grangier)
Monsieur Charles et Madame Blanche sont bien tristes : la maison close qu'ils tiennent va fermer et ils doivent dire adieu aux jolies filles, à tous leurs amis qui fréquentaient ce lieu… En guise d'adieu, les tenanciers offrent un cadeau à chacune des pensionnaires, mais Lucette est absente pour cause de deuil. L'enseigne revient à cette pensionnaire si douée à laquelle Monsieur Charles prédit une ascension sociale.
- 2e sketch : Le Procès (réal. Gilles Grangier)
Deux petits truands ont dérobé chez une baronne quelques objets de valeur dont une lanterne, que Monsieur Charles avait donnée en guise de remerciement à la baronne, qui fut autrefois l'une de ses anciennes pensionnaires…
- 3e sketch : Les Bons Vivants (réal. Georges Lautner)
Léon Haudepin, agent général d'assurances et adhérent d'un club de sport, va rencontrer sur son chemin Héloïse, elle aussi une ancienne pensionnaire de la maison close. Il la tire des griffes de l'inspecteur Grannu et grâce à cette rencontre, il va devenir riche et vivre des aventures désopilantes…
Générique
Réalisateurs (2)
Acteurs (37)
Production et distribution (4)
- Productions déléguées : Les Films Corona , Transinter Films
- Production étrangère : Sancro Film
- Exportation / Vente internationale : Tamasa Distribution
- Distribution France : Valoria Films
Générique détaillé (13)
- Adaptation : Albert Simonin, Albert Kantof
- Scénaristes : Albert Simonin, Albert Kantof
- Dialoguiste : Michel Audiard
- Directeurs de la photo : Maurice Fellous, Robert Lefebvre
- Auteur de la musique : Michel Magne
- Assistants à la réalisation : Jean Pourtalé, Claude Vital
- Monteuses : Michelle David, Jacqueline Thiedot
- Ingénieurs du son : Pierre Calvet, René Longuet
- Auteurs de l'oeuvre originale : Paul Reboux, Charles Muller
- Producteurs : Robert Dorfmann, Yvon Guezel, Enrico Chroscicki
- Cadre : Gaston Muller, Georges Pastier
- Décors : Robert Bouladoux, Paul-Louis Boutié
- Narration : Philippe Castelli
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Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Film à sketches, Comédie
- Thèmes : Prostitution
- Langue de tournage : Français
- Origines : France, Italie
- EOF : Non précisé
- Nationalité : Majoritaire français (France, Italie)
- Année de production : 1965
- Sortie en France : 28/10/1965
- Durée : 1 h 40 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 30230
- Visa délivré le : 03/11/1965
- Agrément : Inconnu
- Formats de production : 35 mm
- Type de couleur(s) : Couleur et noir & blanc
- Cadre : 1.66
- Format son : Mono
- Interdiction : Aucune
Box-office & sorties
Diffusion TV
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Actualités & distinctions
A propos
L'établissement de Monsieur Charles et de Madame Blanche est situé dans une rue parisienne au numéro 221, c'est une référence évidente au fameux One, Two, Two : 122, rue de Provence. Bernard Blier interprète un tenancier de maison close, comme dans Le Cave se rebiffe, Franck Villard incarnant l'un de ses "confrères" de province venu le soutenir (si l'on ose dire !). Dominique Davray, quant à elle, était l'inoubliable Madame Mado des Tontons flingueurs bien des années après avoir été la compagne de Simone Signoret dans Casque d'or. On peut imaginer que Georges Lautner et Michel Audiard (sans parler d'Albert Simonin !) entretiennent une certaine nostalgie de l'époque des maisons closes. Leur ami commun Alphonse Boudard a d'ailleurs abondamment écrit sur le sujet.. On notera que dans le troisième sketch, le portrait qui décore la chambre de monsieur Haudepin (Louis de Funés), est celui de Guy de Maupassant, auteur, entre autres, de "La Maison Tellier"...
Dans le premier sketch on relève deux anachronismes : alors que la scène est censée se passer en 1946, Monsieur Marcel propose à deux des filles de Charles de partir en Polynésie et leur affirme qu'elles auront comme clients des atomistes, l'acheteur du mobilier (Jacques Marin) affirme qu'on est "à l'ère du Pick-up" pour justifier le prix d'achat très bas du "bahut à romances" (le piano mécanique).
Ces anachronismes (et quelques autres bizarreries) s'expliquent peut-être par le destin chaotique de ce film qui a été également commercialisé sous le titre Un grand seigneur avec quelques modifications rendant la cohésion des trois sketches pour le moins aléatoire !
Source : Wikipedia