Synopsis
Les Fils de Fierro est la superposition de deux histoires... L'une vient en droite ligne d'un grand poème épique argentin "Martin Fierro", de José Hernande, et sert de cadre au récit de l'Histoire (avec un H majuscule) de Juan Peron. Le discours est divisé en neuf chants (par exemple Le Départ (1), l'Organisation (3), le Désert (6), le Retour (9), qui décrivent ce que fut la vie des Fils de Fierro - soit "les partisans de Peron" - pendant l'exil de celui-ci : Il y a l'Aîné, le sage de la classe ouvrière qui passe la majeure partie de sa vie dans la clandestinité ou en prison ; il y a Picardia, l'homme au cœur gros comme cela, qui fonce dans toutes les luttes, relève toute injustice ; il y a le Cadet, symbole d'une jeunesse ouvrière généreuse et cherchant à prendre le meilleur de l'expérience de l'Aîné et de Picardia tandis que Cirico est plus spontanéiste. Un film symbolique et difficile d'accès, inspiré des écrits d'un poète argentin.
Source : toutlecine.com
Générique
Réalisateur (1)
Production et distribution (3)
- Coproduction : Little Bear
- Productions étrangères : Fernando E. Solanas (F.E.S.), Munich Tele-Pool, WDR Fernsehen
- Distribution France : Midas
Générique détaillé (6)
- Scénariste : Fernando E. Solanas
- Directeur de la photo : Juan Carlos Desanzo
- Monteur : César D'Angiolillo
- Ingénieur du son : Jorge A. Kuschnir
- Producteur étranger : Fernando E. Solanas
- Coproducteur : Bertrand Tavernier
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction, Expérimental
- Sous-genres : Historique, Drame
- Thèmes : Politique
- Langue de tournage : Espagnol
- Origines : France, Argentine, Allemagne
- EOF : Non précisé
- Nationalité : Minoritaire français (France, Argentine, Allemagne)
- Année de production : 1971
- Sortie en France : 08/10/1980
- Durée : 2 h 14 min
- Etat d'avancement : Sorti
- Numéro de visa : 49694
- Visa délivré le : 11/12/1978
- Agrément : Inconnu
- Type de couleur(s) : Noir & blanc
Actualités & distinctions
A propos
Pour la sécurité des acteurs et des techniciens vivant encore en Argentine au moment de la sortie du film, le générique ne comportait aucun autre nom que celui du réalisateur.