Synopsis
Le fils d'une vedette de music-hall, abandonnée par son amant, politicien arriviste, cherche à venger sa mère. Il se livre à un chantage malheureux. Le politicien, revenant à de meilleurs sentiments, lui pardonne et décide d'épouser son ancienne maîtresse. notes: Le premier film parlant de marcel L'Herbier, qu'il appela "pièce cinéphonique".
Générique
Réalisateur (1)
Acteurs (17)
Production et distribution (3)
- Production déléguée : Pathé-Natan
- Exportation / Vente internationale : Pathé Films
- Distribution France : Pathé-Natan
Générique détaillé (7)
- Scénariste : Marcel L'Herbier
- Directeur de la photo : Victor Armenise
- Auteurs de la musique : Raoul Moretti, Joseph Szulc
- Ingénieur du son : Henri Labrely
- Auteur de l'œuvre originale : Henry Bataille
- Producteurs : Emile Natan, Bernard Natan
- Décors : Lucien Aguettand, Robert Gys
Mentions techniques
- Type : Long-métrage
- Genre(s) : Fiction
- Sous-genres : Drame
- Langue de tournage : Français
- EOF : Non précisé
- Nationalité : 100% français
Actualités & distinctions
A propos
Pour son premier film parlant, L’Enfant de l’amour (1929-30), Marcel L’Herbier réussit de véritables prouesses techniques malgré la lourdeur de l’appareillage sonore. Mais le coût de production des longs métrages a considérablement augmenté, et la tentation du (lucratif) théâtre filmé, "parlant et chantant", sonne le glas de beaucoup de recherches d’avant-garde. Jusqu’en 1953, L’Herbier ne cessera pourtant de travailler, tournant énormément et dans des genres très différents.
Source : lips.org
Le premier film parlant de L’Herbier, L'enfant de l’amour (tiré d’une pièce d’Henry Bataille), est situé à Paris, de 1900 à 1929. A côté de nombreuses scènes filmées en studio, une étonnante séquence restitue l’atmosphère insouciante du Paris des années folles. Elle a été captée de nuit à l’ancien Luna Park de la porte Maillot. Des plans généraux d’un toboggan aquatique alternent avec des plans tournés en caméra subjective, au ras de l’eau, selon différents points de vue. Ces images de fête constellées de lumières électriques (manèges, montagnes russes, galerie de miroirs déformants, immense dancing à galerie…) constituent aujourd’hui un document nostalgique sur des lieux disparus.
Source : forumdesimages.fr